L’étranger revisité par François Ozon
Avec L’Étranger, François Ozon signe un film aussi déroutant que fascinant, où la lumière découpe
les visages comme un scalpel et où le silence devient un langage. Ce n’est pas tant une adaptation
de Camus qu’une réinterprétation intime du sentiment d’absurde, revisitée à travers le prisme du
trouble, du désir et de la solitude moderne.
