Sauf que…mensonge et jalousie ne font pas bon ménage au sein de cette bande où les trahisons et les coups bas font la loi ! Et alors que Martin n’arrive pas, les règlements de compte entre amis et amants vont se succéder. Une ex encore amoureuse, une nouvelle copine envahissante, des soupçons de tromperie, des célibataires et des jeunes amoureux,…cette comédie dynamique, pétillante et moderne ravira les fans de l’absurde et du sitcom !

 

Voilà 5 ans que « Je ne suis pas jalouse mais… » conquit le public parisien avec son style burlesque absurde, mais aussi ultra moderne ! Cette année, ils reviennent avec une toute nouvelle distribution qui va apporter une touche pétillante à la pièce écrite par Delphine Telliez.

Qui n’a jamais vécu des trahisons entre amis ? Qui n’a jamais soupçonné quelqu’un de le tromper, à tort ou à raison ?

Si l’inspiration de la pièce de base ne comprenait pas le thème de la jalousie, mais devait simplement s’inspirer des rapports amicaux comme dans « Friends », ce sujet s’est amené naturellement au fur et à mesure du dessin de la pièce. Car si on idéalise l’amitié, on se rend compte que la jalousie est inévitable au sein d’un couple, et plus globalement d’un groupe d’amis : « j’ai appris des choses sur toi aujourd’hui, que je ne soupçonnais même pas hier » (Julie, scène 11).  Comme le dit Delphine Telliez, auteure, « je ne suis pas jalouse de nature, mais je trouve drôle et tragique à la fois les réactions qu’elle engendre chez ces personnages ». Pas jalouse ? Vraiment ?

Absurde et burlesque, certes, mais surtout très réelle, la pièce dépeint avec humour les vices de l’être humain (jaloux, moqueur, égoïste…), mais aussi la beauté de l’amitié.

« Friends », « Sex and the city », « Scooby Doo », « Gaston Lagaffe », les inspirations sont nombreuses et les références raviront les fans des séries sitcom des années 2000 !